Inciter à la (non) lecture

Compagnie d’assurances générales
Police d’assurance : conditions générales
Paris / Lyon, 1891

La mise en page de cette police d’assurance comporte deux niveaux de lecture. En haut, les noms des contractants sont immédiatement lisibles. En bas par contre, aucun effort n’est fait pour encourager le souscripteur à lire et comprendre les clauses du contrat : le texte est petit, serré, sans espaces entre des lignes très longues. Aujourd’hui, ce type de pratique est limité par la loi, mais n’a pas pour autant disparu.