Laure Albin Guillot (1879–1962)
Passiflorine
Paris, vers 1930
À partir des années 1920, l’époque des publicités pharmaceutiques dithyrambiques vantant les mérites de produits souvent sans valeur thérapeutique est largement révolue. Désormais, les publicitaires consacrent un effort considérable pour améliorer l’image déplorable de leur profession et attirer la confiance des consommateurs. Cette photo élégante, imprimée avec soin, est une belle réussite graphique.